Richardson Viano

Ambassadeurs du Pays des Ecrins

D' où vient ta passion ?

Ma première paire de skis, je l’ai chaussée à l’âge de trois ans et demi à Pelvoux-Vallouise.

Cela faisait à peine deux semaines que j’avais quitté l’orphelinat où je vivais à Haïti. Adopté par une famille vivant à l’Argentière-la-Bessée, j’ai tout de suite goûté au plaisir de la montagne et du ski. Très vite, j’ai été piqué par ce sport.

Il faut travailler dur pour y arriver mais je n’ai jamais abandonné !

Pourquoi les Ecrins ?

C’est mon havre de paix. Cette vallée me remémore des souvenirs du lieu où j’ai grandi et où j’ai appris à skier avec mon père.

Je m’entraîne 11 mois sur 12, il faut impérativement aimer l’endroit où l’on pratique son sport.

Depuis mes cinq ans, je suis inscrit au club de Puy Saint Vincent, je connais donc les pistes par cœur mais j’y découvre toujours des nouvelles spécificités.

Ce qui te plaît ici ? 

Je suis attaché aux montagnes du Pays des Écrins.

Je me sens chez moi. C’est si plaisant d’être à seulement 15 minutes en voiture de la station de ski de mon enfance.

J’ai déjà descendu des centaines de pistes en France et à l’étranger et cette vallée est l’une des plus accueillantes, tranquilles et avec des paysages à couper le souffle. Des qualités que l’on ne trouve pas ailleurs.

Le bon plan de Richardson 

Dur d’en choisir un seul. Je conseille le col du Bal et le vallon de Narreyroux pour faire du hors-piste.

Sinon, «Les Crêtes» pour la magnifique vue ou «La Bergerie» pour les skieurs expérimentés.